... n'aura pas lieu. Nous ne sommes pas chez Orwell, par conséquent de nombreux moutons ont été sacrifiés au besoin du culte musulman, ce sans anesthésie et sans révolte. Les abattoirs avait mis à disposition des machines d'anesthésie à l'électricité (Ah bon, l'électrocution, ça fait pas mal?) mais les sacrificateurs ont dédaigné ce dispositif et préféré la manière traditionnelle: à sec, avec un grand couteau et le mouton terrorisé qui bêle et se débat et qu'on égorge proprement dans un combat musclé entre la bête et l'homme! C'est la tradition. Comme l'excision dans d'autre pays. Traditionnelle, sans anesthésie.
Je dois illustrer le sujet, je me mets à la place du mouton.
jeudi 17 novembre 2011
mercredi 9 novembre 2011
Eloge de La Lenteur
Pour celle là, paradoxalement, j'ai du faire vite! Cependant en la faisant, un grand calme m'a envahit.
Un petit chat sur les genoux, une tasse de thé, les feuilles mortes flottants entre ciel et terre et voilà... On vous presse et rien ne vaut l'instant suspendu, l'absence d'action, l'immobilisme contemplatif. Ce sont les moments perdus à lire qui emmènent le plus loin, les instants d'arrêt à rêvasser qui nourrissent l'imaginaire et donnent l'engrais pour les semailles. L'éloge de la lenteur, ce sont les plantes qui n'ont l'air de rien et qui éclosent, dans un éclat stupéfiant, quand le temps de moissonner est arrivé.
Un petit chat sur les genoux, une tasse de thé, les feuilles mortes flottants entre ciel et terre et voilà... On vous presse et rien ne vaut l'instant suspendu, l'absence d'action, l'immobilisme contemplatif. Ce sont les moments perdus à lire qui emmènent le plus loin, les instants d'arrêt à rêvasser qui nourrissent l'imaginaire et donnent l'engrais pour les semailles. L'éloge de la lenteur, ce sont les plantes qui n'ont l'air de rien et qui éclosent, dans un éclat stupéfiant, quand le temps de moissonner est arrivé.
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